Le DPE au service du prix de vente des biens immobiliers
En 2025, les habitations, classées G, considérées comme des passoires énergétiques ne pourront plus être louées. En effet, à compter de cette date, les locataires de logements mal isolés pourront exiger de leur propriétaire bailleur des travaux de rénovation énergétique, en saisissant notamment la justice en cas de refus. Une mesure phare du gouvernement en place qui entend bien lutter contre l’impact environnemental du secteur du logement. Ainsi, les biens immobiliers classés A ou B sur l’étiquette énergétique, profitent d’un certain succès et voient leur prix de vente considérablement augmenter sur le marché immobilier. Au contraire, les déperditions énergétiques d’une habitation engendrent une baisse du prix de vente du logement au mauvais DPE. Le prix de ces biens énergivores serait alors de – 6 à – 7% par rapport au prix d’un bien immobilier plus économe. Un logement au bon DPE permet alors de vendre à la fois plus chère mais également plus bien plus rapidement puisque les logements A et B attirent bien plus d’acquéreurs immobiliers.